
Déclaration des peuples autochtones à l'UNFSS
Je me réjouis que cette déclaration représente les points de vue des sept régions socioculturelles des populations autochtones. Les systèmes alimentaires des populations autochtones sont à la base de nos identités, de notre bien-être, de nos moyens de subsistance et de notre survie.
Notre résilience repose sur la santé de nos écosystèmes et sur la pleine reconnaissance de nos droits à la terre et à l'eau. Nous sommes soutenus par nos modes de connaissance traditionnels et nos systèmes de connaissances intergénérationnels, nos cultures et notre spiritualité.
Pour assurer la résilience de nos systèmes alimentaires autochtones dans un climat changeant, il faut reconnaître nos droits sur nos terres, nos eaux et nos forêts.
En tant que jeunes autochtones, nous nous engageons à renforcer notre participation à tous les aspects de nos systèmes alimentaires afin d'en assurer la durabilité et la résilience.
Nous appelons les États et le système des Nations unies à s'engager à respecter, à faire respecter et à mettre pleinement en œuvre la Déclaration des Nations unies sur les droits des populations autochtones, nécessaire à la résilience de nos systèmes alimentaires, y compris le consentement préalable, libre et éclairé et l'autodétermination.
À cet égard, nous sommes très satisfaits de l'émergence de la coalition des systèmes alimentaires des populations autochtones qui vise à garantir la compréhension, le respect, la reconnaissance, l'inclusion et la protection des systèmes alimentaires des populations autochtones, même après le Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires. (18 secondes)
Nous apprécions le soutien des États membres, notamment du Canada, de la République dominicaine, de la Finlande, du Mexique, de la Nouvelle-Zélande, de la Norvège et de l'Espagne, ainsi que d'autres partenaires stratégiques, notamment l'Instance permanente des Nations unies sur les questions autochtones, le Pôle mondial sur les systèmes alimentaires des populations autochtones, la FAO, le FIDA et le PAM.
Remis par Nom | Titre | Population autochtone/Nation |
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Dr. Myrna Cunnigham | Ancienne présidente de l'UNPFII Présidente de la FILAC | Population autochtone Miskitu |
Tunda Margaret Lepore | Communauté Narropil Afrique Représentation des jeunes à | Maasai, Kenya |
Chris Honahnie | Jeune agriculteur | Hopi et Diné |
Aminata Diallo | Jeune pastoraliste, étudiante à l'African Leadership University, membre de l'association Tinhinan | Kel Tamasheq (Touareg) et Peul (Peul), Mali, Afrique |
Samantha Harrison | Infirmière diplômée, leader émergent du Conseil circumpolaire inuit, titulaire d'une maîtrise en One Health de l'Université d'Alaska. | Membre inscrit du village autochtone de Kotzebue, Inupiaq |
Viviana Suárez Miranda | Conseillère pour les projets de vie et l'auto-développement de l'Organisation nationale indigène de Colombie (ONIC). | Muisca Indigenous, Colombie. |
Mai Thin Yu Mon | Point focal pour l'Asie, Global Indigenous Youth Caucus Food Systems Champion ; Vice-président pour la jeunesse, AT 4 | Peuple Chin du Myanmar |
Ce texte a été traduit à l'aide d'un traducteur automatique et, bien que des efforts aient été faits pour en assurer l'exactitude, des erreurs peuvent exister.